Des sœurs et des frères à la grâce de Dieu

Sur notre paroisse, plusieurs communautés religieuses réunissent des femmes et des hommes qui ont consacré leur vie au Seigneur.

 Les religieuses de l’Assomption

Le 30 avril 1839, Mère Marie-Eugénie et Mère Marie-Augustine fondaient à Paris la Congrégation des Religieuses de l’Assomption. Une forte amitié liait Marie-Eugénie au Père d’Alzon, fondateur des Augustins de l’Assomption (*). Présentes dans 33 pays, elles partagent leur spiritualité et leur mission avec de nombreux amis laïcs. Depuis 1882, sur le site de l’Institut de l’Assomption Lübeck (établissement de 1 400 élèves, de la maternelle au lycée), des sœurs sont engagées pour l’orientation des jeunes et la pastorale ainsi qu’à la paroisse Saint-Pierre de Chaillot.

Les consacrées de Regnum Christi

En 1969, des femmes désirant répondre à un appel personnel du Christ à le suivre et à se donner à lui, ont formé la première communauté de consacrées au sein de Regnum Christi. Dans 17 pays, les 500 consacrées de Regnum Christi témoignent de ce Royaume en se mettant à la suite du Christ. La communauté de la rue de Lubeck est engagée dans la catéchèse, l’animation d’aumônerie et de patronages, des camps de vacances en France et à l’étranger, des missions humanitaires et d’évangélisation, des cours de théologie, des retraites, des méditations en ligne, et l’accompagnement spirituel.

Augustins de l’Assomption (Assomptionnistes)(*)

Fondés à Nîmes par le P. Emmanuel d’Alzon, les assomptionnistes se sont installés rue François 1er dès 1860. Pour faire advenir le Règne de Dieu, ils ont déployé leur charisme par l’enseignement, le soin des plus pauvres et la recherche de l’unité de chrétiens. En cette communauté, sont nés le Pèlerinage National à Lourdes (août), Le Pèlerin et la Croix puis le groupe Bayard. Depuis 2010, les frères de cette congrégation (950 religieux dans une trentaine de pays) s’occupent en ce lieu d’une auberge de jeunesse chrétienne (Adveniat) et d’un foyer d’étudiants.

Ce que je suis, je le suis par la grâce de Dieu

(1 Co 15, 10)

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