Nous aussi, mes frères et sœurs, pénétrons-nous de la gloire de Jésus pour être capables de supporter la violence du vendredi saint particulièrement. Souvenons-nous de cette gloire qui émane du Christ. Souvenons-nous que Jésus ne supporte pas la Passion : Il la veut, et c’est tout à fait librement, et c’est même Lui qui la conduit, et c’est ainsi que la Rédemption va venir dans le monde.
Les consacrés nous disent que ce qui est important c’est de suivre le Christ et d’être un signe vivant de l’union de Dieu et de l’unité du genre humain.
Le prophète, le messager de la « Bonne Nouvelle », Dieu nous demande de l’accueillir et de l’écouter.
« Aujourd’hui ne fermons pas notre cœur, mais écoutons la voix du Seigneur » (Psaume 94)
Le prophète est là pour nous donner des explications sur les évènements du passé. Donnons ici les quatre points qui résument en quelque sorte l’activité des prophètes.
L’Epiphanie si l’on devait véritablement donner le sens de cette fête est « la manifestation » publique de Jésus au monde. Voyons ensemble les 3 manifestations de l’Evangile.
Ce dimanche nous célébrons une famille, mais pas n’importe laquelle, la Sainte Famille !
Nous opposons facilement l’état de veille à celui du sommeil. Mais, veiller, c’est beaucoup plus que ne pas s’endormir !
Pour vivre cet évangile, pour vivre l’amour dont il est question, je vous invite, frères et sœurs à vous tourner vers le Christ. Il est la source, Il est l’amour incarné.