Dans notre société, le modèle lancinant sans cesse rappelé, c’est la jeunesse, la santé, le corps parfait, l’argent qui rend libre !
Pas un lieu qui ne nous rappelle ce modèle: pharmacie, internet, télévision etc…
Dans un tel contexte, comment comprendre que l’Église organise un dimanche des malades ?
Et pourtant, à contrario de cette société malade de son apparente bonne santé, viennent se cacher des réalisations bien mystérieuses dans ce contexte faustien !
Ainsi Mère Teresa de Calcutta, dans la fondation de son ordre si austère des Sœurs de la charité, a vite pris conscience de la nécessité d’instaurer un diamant au cœur de sa fondation, un ordre tout à fait particulier : L’ordre des serviteurs de la charité. Ainsi de grands malades incurables, allaient se consacrer sous la forme d’un vœu très particulier, consistant à offrir ses souffrances pour la fécondité du travail apostolique des sœurs de Calcutta !
Alors la pierre philosophale que nous laissa Notre Seigneur Jésus Christ, allait fonctionner à plein. Transformer la souffrance volontairement offerte, en union profonde avec Jésus, en abondante grâce déversée sur le monde et particulièrement sur ceux qui en ont le plus besoin.
Père Olivier Horovitz
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