Frères et sœurs je prie que chacun, chacune d’entre vous puisse être à son tour le sacrement de la présence de Dieu parmi les hommes.
Voici mon testament, nous dit-il ce jour. ‘Ceci est mon corps livré’ par amour pour vous, sans rien reprendre et jusqu’au bout ».
Jésus nous exhorte à la confiance en Celui qui a le pouvoir de relèvement.
“Détruisez ce temple et en trois jours je le relèverai” Jean 2, 19
Comment peut-on humaniser la parole ?
L’eau est principe de vie. Mais voilà l’eau ne suffit pas à la vie. Il faut que l’Esprit vienne achever en la vivifiant ce que l’eau porte déjà en elle de ressources vitales. Ainsi en va-t-il de notre baptême.
La joie, c’est le thème de ce 3ème dimanche de l’Avent. Quelle joie ? Et surtout quel motif de joie ? Quelle raison de nous réjouir ? Si nous y réfléchissons, une figure émerge, un motif de joie pour Dieu et pour nous.
Le risque est inhérent à notre existence, à la fois individuelle, économique, politique, sociale. Il y a du risque partout. Et dans les textes du jours nous verrons les risques pris par certain homme.
Revenir au centre, revenir à l’essentiel. Sauver son âme, c’est-à-dire faire une rencontre en vérité, avec Dieu, qui est là au creux de notre cœur, au creux du rocher, qui nous parle et nous regarde.