L’eau est principe de vie. Mais voilà l’eau ne suffit pas à la vie. Il faut que l’Esprit vienne achever en la vivifiant ce que l’eau porte déjà en elle de ressources vitales. Ainsi en va-t-il de notre baptême.
La joie, c’est le thème de ce 3ème dimanche de l’Avent. Quelle joie ? Et surtout quel motif de joie ? Quelle raison de nous réjouir ? Si nous y réfléchissons, une figure émerge, un motif de joie pour Dieu et pour nous.
Le risque est inhérent à notre existence, à la fois individuelle, économique, politique, sociale. Il y a du risque partout. Et dans les textes du jours nous verrons les risques pris par certain homme.
Revenir au centre, revenir à l’essentiel. Sauver son âme, c’est-à-dire faire une rencontre en vérité, avec Dieu, qui est là au creux de notre cœur, au creux du rocher, qui nous parle et nous regarde.
Nous allons avoir du temps, puisque nous allons être confiné. Je vous invite à profiter de ce temps en lisant la vie des saints. Ainsi, nous nous rapprocherons d’eux et nous communierons à leur propre sainteté, c’est-à-dire à la sainteté de Dieu.
Il y a des formules évangéliques que nous n’entendons plus à force de les avoir écoutées. Alors prenons quelques libertés de revenir sur certaines d’entre elles !
Seigneur, apprenez moi la place que Vous voulez que je tienne dans l’édification de la cité du pardon et de la paix que Vous avez inaugurée en Vous-même, pour vos Apôtres dans l’Église que Vous continuez sans fin en Vos amis et parmi ceux-là, à une place de choix, Saint François d’Assise qui a voulu que ses frères, ses petits frères adoptent comme devise « Pace e Bene », « La paix et tout ce qui est bon ».
« Les prostituées, les publicains, c’est-à-dire les pécheurs publics qui étaient tenus au ban de la société religieuse, vous précèdent dans le royaume des cieux » Alors comment comprendre cette Parole de Jésus ?