L’Epiphanie si l’on devait véritablement donner le sens de cette fête est “la manifestation” publique de Jésus au monde. Voyons ensemble les 3 manifestations de l’Evangile.
Ce dimanche nous célébrons une famille, mais pas n’importe laquelle, la Sainte Famille !
La joie, c’est le thème de ce 3ème dimanche de l’Avent. Quelle joie ? Et surtout quel motif de joie ? Quelle raison de nous réjouir ? Si nous y réfléchissons, une figure émerge, un motif de joie pour Dieu et pour nous.
Nous opposons facilement l’état de veille à celui du sommeil. Mais, veiller, c’est beaucoup plus que ne pas s’endormir !
Le risque est inhérent à notre existence, à la fois individuelle, économique, politique, sociale. Il y a du risque partout. Et dans les textes du jours nous verrons les risques pris par certain homme.
Revenir au centre, revenir à l’essentiel. Sauver son âme, c’est-à-dire faire une rencontre en vérité, avec Dieu, qui est là au creux de notre cœur, au creux du rocher, qui nous parle et nous regarde.
Nous allons avoir du temps, puisque nous allons être confiné. Je vous invite à profiter de ce temps en lisant la vie des saints. Ainsi, nous nous rapprocherons d’eux et nous communierons à leur propre sainteté, c’est-à-dire à la sainteté de Dieu.
Pour vivre cet évangile, pour vivre l’amour dont il est question, je vous invite, frères et sœurs à vous tourner vers le Christ. Il est la source, Il est l’amour incarné.